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Jolie Boucle

5 octobre 2011

Dernières semaines

Avant que l'été ne commence, j'avais déjà des tracas face à ce que j'allais faire. Je devais me trouver un emploi, sinon je n'aurais jamais assez d'argent pour passer ma prochaine année à Québec. Comme Samuel était à 1h30 de chez moi, j'avais l'intention d'aller me trouver un travail près de mon amoureux, sauf que je devais me trouver une place où habiter. Chez lui aurait été parfait, c'est ce que je voullais, sauf qu'il n'était pas près de Sherbrooke, la ville où j'aurais pu avoir facilement un travail. Donc il me restait dans l'appartement à mon frère. L'été aurait pu être prometteur. J'aurais été avec mon amoureux et ma famille. Mes parents m'encouragait à y aller, de toute façon, c'était dans leurs projet de déménager à Sherbrooke. Si ça n'arrivait pas alors, ils seraient venus me voir assez souvent.

L'incovéniant est de justifier aux employeurs que tu veux travailler le plus possible, mais que quand l'école va reccomencer et bien tu vas arrêter. La majorité me disait que d'autre passait avant moi sur les heures et qu'ils voulaient quelqu'un pour plusieurs mois, pas seulement trois. Il y avait aussi la question de comment j'allais m'y rendre si c'était loin. Parce que oui malgré ma majorité, j'étais sans permis de conduire et sans auto. Bref, à ma dernière semaine d'école je n'avais toujours pas d'école. Puis comme de raison je me plaignis le dernier vendredi à Rosalie et Thomas. Puis, faut croire que ça avait de l'intérêt pour lui, parce qu'il me proposa de donner mon nom pour la compagnie de paysagement de ses parents. Et selon lui j'avais de très bonne chance de me faire téléphoner et même engager.

C'est le dimanche que mon enthousiaste retomba. Thomas m'annoncait que ces parents avaient engagé une nouvelle fille, et ils n'en avait pas besoin d'autre. Même si je savais que le paysagement allait être difficile physiquement pour moi, j'étais horriblement déçue. C'est vrai que j'aurais resté chez mes parents et que j'aurais pas vue plus souvent Sam durant l'été, mais j'aurais eue un bon salaire et une belle expérience de travail. J'allais aussi connaître un collègue, comme Thomas y travaillait aussi. Moi qui n'aime pas faire des nouvelles connaissances, c'était une motivation de plus pour moi qu'il soit là. Sam était probablement aussi déçu que moi, parce que je devenais particulièrement irritable et désagréable sous le stress.

Pauvre lui, il n'était pas en meilleur situation que moi. Il n'avait pas de travail non plus, et j'arrêtais pas de me plaindre sur ma situation. Une chance que c'est lui. Je ne crois pas que je pourrais vivre maintenant sans Sam. Ça faisait fraichement deux ans que nous étions ensemble. Je l'aimais comme si ca faisait que quelques mois qu'on se connaissait. Disons que j'avais travailler pour l'avoir. Après ma permière relation amoureuse, je m'étais dit que si j'avais à avoir un autre amoureux ça serait lui et personne d'autre. Et bien, je suis heureuse de vous apprendre que c'est lui et personne d'autre. Ce sera lui et personne d'autre, encore et encore.

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4 octobre 2011

Fin de relation

Printemps 2011, le moment où j'allais finir la première année de mes études en design et aussi le moment où j'allais devenir majeure. Même si ça m'importe peu, je dois avouer que c'était à ce moment là. C'est le moment ou j'allais passé le plus long été de ma vie d'étudiante depuis un bons nombre d'années. Puis c'est ça qui m'interesse, parce que c'est l'histoire de mon été qui interesse.

J'allais pouvoir déménager pour l'été dans ma campagne. Même si j'y retournait tous les fins de semaine avec Thomas et Rosalie. Le parfait couple qu'on pouvait imaginer qu'il était fait pour se marier. Sauf que durant l'hiver, il s'était séparer, le froid qu'il avait eue dans l'auto ce dimanche pour le retour à la ville. C'était une des expériences les plus désagréable que j'ai eue à vivre. Elle était mon amie depuis toute jeune, et bien entendu je le détestais, par sympathie et aussi parce que je ne pouvais pas croire qu'il avait osé faire ça. Ce que vous savez pas c'est qu'ils habitaient dans un petit 3 1/2 et ce pour encore les mois à venir. Bref, je crois que j'aurais préféré ne pas être dans cette auto pour les deux heures qui nous attendait ce soir là. C'était triste, l'atmosphère était lourd. La seule bonne nouvelle qu'il y avait dans tout cette histoire était que Rosalie allait être la colocataire qui nous manquait à moi et Jade.

Durant les dernières semaines de notre années scolaire, je voyais que malgré tout ils s'entendaient bien. À chaque fois nous devions aller la porter chez elle avant d'arriver à notre village. Parce que moi et Thomas nous habitions dans la même campagne. Ça me dérengeait. J'arrivais 45 minutes plus tard qu'à l'habitude chez moi et je devais faire plus de route pour elle. Pourquoi ses parents n'étaient pas capable de venir la chercher chez Thomas, après tout ils savaient où c'était et c'était à 30 minutes de chez elle. Bref, j'avais 30 minutes à parler avec Thomas, moi qui n'est pas la plus grande parleuse, j'avais 30 minutes à passer en sa compagnie à la place de celle de mon amoureux, qui m'attendait à la maison. Ça me dérengais, sauf que je me taisais, parce que c'est ce qu'on m'a appris. Ne te plaind pas, fait ce que tu as à faire. Malgré tout Thomas était sympathique, il ne m'était pas étranger comme on avait fait notre école primaire ensemble. Donc disons que maintanent je me faisais un nouvel ami. Il était gentil et je comprennais maintenant ces motivations face à Rosalie, j'apprenais à moins le détester pour elle.

 

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